A la découverte des arts vivants

Deux scientifiques issus du G.I.R.A.F.E. — Groupe International de Recherche pour Automatiquement Fédérer les Électeurs — prétendent avoir trouvé une méthode qui, si elle est suivie à la lettre, permet d’emporter n’importe quel affrontement électoral.

L’art d’avoir toujours raison est un spectacle qui prend le contrepied et vise à transmettre des techniques de manipulation, révélant ainsi certaines des stratégies de propagande auxquelles nous sommes quotidiennement confrontés.

​

Dans la trilogie Humain trop Humain, dont Paradox(al) est le troisième volet, il est question de notre condition humaine.

Pensé par François Veyrunes, cet univers dansé nous amène à réfléchir aux métamorphoses et aux paradoxes permanents auxquels chacun est confronté. Entre le calme-bouillonnant et le féminin-masculin, les interactions entre les 7 danseurs se déploient dans une écriture chorégraphique saisissante où la question de l’auto-organisation prend le pas sur le chaos.

Qu’il soit chanté, dansé ou joué, le thème de cette histoire est celui de la Résistance, et sous toutes ses formes !

Le 21 octobre 1943, l’ethnologue Germaine Tillion est déportée à Ravensbrück pour faits de résistance. Avec ses camarades et alors qu’il est interdit d’écrire, Germaine Tillion cachée, rédige une opérette à Ravensbrück (Le Verfügbar aux enfers). Une manière de rentrer au cœur de cette terrible époque où l’ethnologue utilisait l’humour pour décrire leurs conditions de
détention : une victoire de l’esprit contre la déshumanisation.

L’œil du prince est cet endroit mystérieux où l’on voit le mieux dans une salle de spectacle, une place réservée au souverain dans l’ancienne tradition théâtrale.
Dans un élan artistique poétique, les corps redéfinissent le nu et peignent un tableau vivant, entrainant un voyage introspectif où chaque geste résonne avec le beau.

C’est une ode à la liberté créative, une invitation à laisser vagabonder notre imagination et à questionner notre rapport à l’art afin d’ouvrir les dialogues.